Comme à toi (Pierre Ardouvin) : Différence entre versions

|description=La figure emblématique de Louise Michel, poétesse, pédagogue, féministe et figure révolutionnaire active lors de la Commune à Paris en 1871, est le point de départ du projet artistique de Pierre Ardouvin. Le dernier vers du poème Hirondelle, "Il me faut comme à toi l'air et la liberté", donne ainsi son titre à l'œuvre et constitue une des deux parties de l'installation. Cette phrase, qui se découpe en aluminium au-dessus du centre de documentation et d'information, accueille l'arrivée des élèves. Comme le dit Pierre Ardouvin, ces mots touchent aux questions, si sensibles et si essentielles pour les collégiens, que sont la liberté et l'autonomie. La seconde partie de l'œuvre, un immense ballon rouge réalisé en résine, s'inspire du film "Le ballon rouge" d'Albert Lamorisse qui se déroule dans le quartier de Ménilmontant, dans un Paris des années 1950. Son histoire, mettant en scène un jeune enfant et un ballon de baudruche, évoque la légèreté, la fragilité, mais aussi la fête et la magie de l'enfance. Le rouge, associé à la phrase de Louise Michel, renvoie pour l'artiste aussi aux luttes ouvrières, au temps des cerises.

|description=La figure emblématique de Louise Michel, poétesse, pédagogue, féministe et figure révolutionnaire active lors de la Commune à Paris en 1871, est le point de départ du projet artistique de Pierre Ardouvin. Le dernier vers du poème Hirondelle, "Il me faut comme à toi l'air et la liberté", donne ainsi son titre à l'œuvre et constitue une des deux parties de l'installation. Cette phrase, qui se découpe en aluminium au-dessus du centre de documentation et d'information, accueille l'arrivée des élèves. Comme le dit Pierre Ardouvin, ces mots touchent aux questions, si sensibles et si essentielles pour les collégiens, que sont la liberté et l'autonomie. La seconde partie de l'œuvre, un immense ballon rouge réalisé en résine, s'inspire du film "Le ballon rouge" d'Albert Lamorisse qui se déroule dans le quartier de Ménilmontant, dans un Paris des années 1950. Son histoire, mettant en scène un jeune enfant et un ballon de baudruche, évoque la légèreté, la fragilité, mais aussi la fête et la magie de l'enfance. Le rouge, associé à la phrase de Louise Michel, renvoie pour l'artiste aussi aux luttes ouvrières, au temps des cerises.

|inauguration=2014

|inauguration=2014

|contexte_production=Commande publique, 1%

|contexte_production=Commande publique, 1%

|periode_art=

|periode_art=

|Site pays=France

|Site pays=France

|Site pmr=je ne sais pas

|Site pmr=je ne sais pas

|proprietaire=Académie de Créteil

|proprietaire=Académie de Créteil

}}

}}