Sans titre, Le gris du ciel ® / Une machine polygame / Sans titre, Close Encounters (Bruno Peinado) : Différence entre versions
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|contexte_production=Composée d’un écran de 18 mètres de long et de 2,40 mètres de haut comprenant lui-même une grille de 72 caissons lumineux s’éclairant par intermittence et pouvant se teinter individuellement, et de manière aléatoire, d’à peu près toutes les couleurs de toutes les gammes chromatiques de la création, l’œuvre adresse son message sans faiblir et semble ainsi tenir lieu de phare dans la ville.Renvoyant directement au panneau lumineux de la scène finale du film de Steven Spielberg, Rencontre du troisième type, l’œuvre de Bruno Peinado annonce d’emblée la couleur et dit son intention de créer du langage. Une langue elliptique, avide et curieuse qui s’invente à chaque instant et s’adresse à l’autre avec conviction. L’interface qui, dans la fiction, sert à communiquer avec les extraterrestres, devient ici, posée sur ce toit haut de cinq étages, une « sculpture signe » qui regarde en direction des voies de chemins de fer menant à la gare Saint-Charles et interpelle les nouveaux arrivants autant que les habitants du quartier. L’infini possible des couleurs mêlées, l’harmonie des contrastes… évidemment, tout cela tient du symbole dans cette ville cosmopolite et métissée. L’œuvre entre furieusement en résonance avec la réalité de Marseille. | |contexte_production=Composée d’un écran de 18 mètres de long et de 2,40 mètres de haut comprenant lui-même une grille de 72 caissons lumineux s’éclairant par intermittence et pouvant se teinter individuellement, et de manière aléatoire, d’à peu près toutes les couleurs de toutes les gammes chromatiques de la création, l’œuvre adresse son message sans faiblir et semble ainsi tenir lieu de phare dans la ville.Renvoyant directement au panneau lumineux de la scène finale du film de Steven Spielberg, Rencontre du troisième type, l’œuvre de Bruno Peinado annonce d’emblée la couleur et dit son intention de créer du langage. Une langue elliptique, avide et curieuse qui s’invente à chaque instant et s’adresse à l’autre avec conviction. L’interface qui, dans la fiction, sert à communiquer avec les extraterrestres, devient ici, posée sur ce toit haut de cinq étages, une « sculpture signe » qui regarde en direction des voies de chemins de fer menant à la gare Saint-Charles et interpelle les nouveaux arrivants autant que les habitants du quartier. L’infini possible des couleurs mêlées, l’harmonie des contrastes… évidemment, tout cela tient du symbole dans cette ville cosmopolite et métissée. L’œuvre entre furieusement en résonance avec la réalité de Marseille. | ||
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+ | |site_ville=Marseille | ||
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Version du 5 juillet 2021 à 13:42
Œuvre
Titre | Sans titre, Le gris du ciel ® / Une machine polygame / Sans titre, Close Encounters |
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Description Charpente métallique en acier galvanisé, enseigne lumineuse, commande électronique, 2,4 x 18 m | |
Date | 2009 |
Nature | pérenne |
Programme | |
Contexte de production Composée d’un écran de 18 mètres de long et de 2,40 mètres de haut comprenant lui-même une grille de 72 caissons lumineux s’éclairant par intermittence et pouvant se teinter individuellement, et de manière aléatoire, d’à peu près toutes les couleurs de toutes les gammes chromatiques de la création, l’œuvre adresse son message sans faiblir et semble ainsi tenir lieu de phare dans la ville.Renvoyant directement au panneau lumineux de la scène finale du film de Steven Spielberg, Rencontre du troisième type, l’œuvre de Bruno Peinado annonce d’emblée la couleur et dit son intention de créer du langage. Une langue elliptique, avide et curieuse qui s’invente à chaque instant et s’adresse à l’autre avec conviction. L’interface qui, dans la fiction, sert à communiquer avec les extraterrestres, devient ici, posée sur ce toit haut de cinq étages, une « sculpture signe » qui regarde en direction des voies de chemins de fer menant à la gare Saint-Charles et interpelle les nouveaux arrivants autant que les habitants du quartier. L’infini possible des couleurs mêlées, l’harmonie des contrastes… évidemment, tout cela tient du symbole dans cette ville cosmopolite et métissée. L’œuvre entre furieusement en résonance avec la réalité de Marseille. | |
Période | art contemporain |
Domaine | installation avec de la lumière |
Mots clés | Commande publique |
Site
Lieu | Friche de la Belle de Mai |
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Ville | Marseille |
Pays | France |
Détails sur le site toit de la Friche de la Belle de Mai | |
PMR | je ne sais pas |
Latitude/Longitude | 43° 18′ 36″ N 5° 23′ 24″ E |