|source=[https://www.wikidata.org/wiki/Q107137226 L'art à ciel ouvert : la commande publique au pluriel 2007-2019], https://www.artcontemporain-languedocroussillon.fr/pdf/adep/18/970.pdf
|source=[https://www.wikidata.org/wiki/Q107137226 L'art à ciel ouvert : la commande publique au pluriel 2007-2019], https://www.artcontemporain-languedocroussillon.fr/pdf/adep/18/970.pdf
+
|mot_cle=L'art à ciel ouvert : la commande publique au pluriel 2007-1892
[[Description::“L’œuvre consiste en la disposition dans l’espace du patio d’un agrandissement géant d’un dessin d’enfant. Ce dessin représente une rosace, une de celle que l’on trace très simplement à l’aide d’un compas. Pour l’anecdote, c’est la première tentative réussie d’une petite fille, du traçage solitaire d’une rosace à laquelle elle a donné quelques couleurs en déclinant au crayon la gamme chromatique. Le peintre Georges Braque avait pour habitude de sortir certaines de ses toiles de son atelier pour voir si elles ”tenaient“ au milieu de la nature, si elles pouvaient soutenir la comparaison avec les arbres, les nuages, et ne pas visuellement disparaître. [...]” Lire la suite dans le dossier de presse\nP. Joseph\n| ]]