Faire le chemin en marchant (François Deck) : Différence entre versions
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|description=Après avoir étudié à l’Ecole des Beaux-Arts (Bordeaux puis Paris), Edgard Pillet obtient le prix de la Jeune Peinture en 1948 puis celui de La Critique à Bruxelles en 1953. Sa renommée, s’établissant peu à peu, lui permet d’exposer aux quatre coins du monde (Paris, New-York, Copenhague, Londres, Chicago etc.). L’artiste se place comme fervent défenseur de l’art moderne et du concept de synthèse des arts. | |description=Après avoir étudié à l’Ecole des Beaux-Arts (Bordeaux puis Paris), Edgard Pillet obtient le prix de la Jeune Peinture en 1948 puis celui de La Critique à Bruxelles en 1953. Sa renommée, s’établissant peu à peu, lui permet d’exposer aux quatre coins du monde (Paris, New-York, Copenhague, Londres, Chicago etc.). L’artiste se place comme fervent défenseur de l’art moderne et du concept de synthèse des arts. | ||
L’œuvre Sans titre, de 1969, illustre bien cet aspect. En effet, l’artiste se sert de l’architecture comme support de sa mosaïque. En recouvrant l’ensemble du mur (long de plus de 10 mètres), l’œuvre ne fait qu’un avec le bâtiment. Adepte des formes géométriques et schématiques, Edgard Pillet les agence entre elles en donnant ainsi un dynamisme à l’ensemble. Sa capacité d’invention formelle liée à un sens aigu de la couleur apporte une certaine cohésion à l’ensemble. Issus de l’abstraction, les motifs aux formes simples amènent douceur et modernité au bâtiment. | L’œuvre Sans titre, de 1969, illustre bien cet aspect. En effet, l’artiste se sert de l’architecture comme support de sa mosaïque. En recouvrant l’ensemble du mur (long de plus de 10 mètres), l’œuvre ne fait qu’un avec le bâtiment. Adepte des formes géométriques et schématiques, Edgard Pillet les agence entre elles en donnant ainsi un dynamisme à l’ensemble. Sa capacité d’invention formelle liée à un sens aigu de la couleur apporte une certaine cohésion à l’ensemble. Issus de l’abstraction, les motifs aux formes simples amènent douceur et modernité au bâtiment. |
Version du 28 juin 2016 à 14:25
Œuvre
Titre | Faire le chemin en marchant |
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Description C’est après la construction du bâtiment du premier cycle des sciences sociales de l’Université Pierre Mendès France que François Deck réalise son œuvre. Afin de ne pas rivaliser avec la verticalité de l’architecture, l’artiste fait le choix d’une installation plane, placée au niveau du sol. Par sa position, cette œuvre marque les entrées Nord et Sud du bâtiment. Réalisée en plaque de fonte, matériau identique aux plaques d’égouts, l’installation est composée de modules géométriques. Représentant de manière schématique une usine, la forme se décompose en 3, 7 et 8 parties pouvant être lues individuellement. Par ailleurs, on remarque que le motif de l’usine est récurrent puisqu’il est reproduit de nombreuse fois en relief sur les plaques de métal. Installée en même temps que la mise en place de la voierie, cette œuvre s’inscrit dans un damier de béton formant un chemin pour accéder aux différents bâtiments. Par sont titre ‘’Faire le chemin en marchant’’, l’artiste fait peut-être référence au chemin à parcourir pour rejoindre les différents pôles de l’université. | |
Date | 1993 |
Nature | pérenne |
Programme | 1% artistique |
État de conservation | bon état |
Domaine | installation, revêtement de sol |
Matériau | fonte |
Commanditaire | Université Grenoble Alpes |
Site
Lieu | Université de Grenoble Alpes |
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Adresse | Avenue Centrale |
Ville | Gières |
Département | Isère |
Région | Rhône-Alpes |
Pays | France |
Détails sur le site Galerie des amphis - CLV | |
PMR | site accessible aux personnes à mobilité réduite |
Latitude/Longitude | 45° 11′ 25″ N 5° 46′ 16″ E |