Le Jardin des miroirs (Bernard Tschumi) : Différence entre versions

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|titre=Le Jardin des miroirs
 
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|Site coordonnees=48.8909083, 2.3893516
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|Site coordonnees=48.8909083,2.3893516
 
|artiste=Bernard Tschumi
 
|artiste=Bernard Tschumi
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|description=Tschumi confie à dix paysagistes dix jardins avec chacun leur caractère : le Jardin des Miroirs, le Jardin des Equilibres, le Jardin des Frayeurs enfantines, le Jardin des Voltiges, le Jardin des Îles et le Jardin du Dragon de Bernard Tschumi (avec le concours de François Ghys) ; le Jardin des Vents et des Dunes, d'Isabelle Devin et Catherine Rannou ; le Jardin de la Treille, de Gilles Vexlard et Jean-Max Albert ; le Jardin des Bambous, d'Alexandre Chemetoff, Daniel Buren et Bernhard Leitner ; le Jardin des Ombres, d'Ursula Kurz.
 
 
|nature=pérenne
 
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|contexte_production=C'est le premier parc urbain de grande envergure réalisé à Paris depuis Haussmann dans les années 1850 à 1870. Il s'agit de créer un « modèle des parcs urbains du XXIe siècle » et d'aller à la « recherche d'une civilisation de la ville ». Le directeur de la Mission du parc, François Barré, y ajoute la volonté de réaliser « un équipement culturel de plein air, conçu sous le double signe de la rencontre et de l'union des contraires : la nature et la ville, le corps et l'esprit, la savoir et le faire ». Le concours suscite quatre cent soixante-et-onze projets émanant de trente-six pays.
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L'architecte suisse Bernard Tschumi remporte le concours en 1983 avec une proposition géométrique à la manière des jardins des années 1920.
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|description=mirroirs
 
|type_art=aménagement paysager, architecture
 
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|materiaux=miroir
 
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|contexte_production=C'est le premier parc urbain de grande envergure réalisé à Paris depuis Haussmann dans les années 1850 à 1870. Il s'agit de créer un « modèle des parcs urbains du XXIe siècle » et d'aller à la « recherche d'une civilisation de la ville ». Le directeur de la Mission du parc, François Barré, y ajoute la volonté de réaliser « un équipement culturel de plein air, conçu sous le double signe de la rencontre et de l'union des contraires : la nature et la ville, le corps et l'esprit, la savoir et le faire ». Le concours suscite quatre cent soixante-et-onze projets émanant de trente-six pays.
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L'architecte suisse Bernard Tschumi remporte le concours en 1983 avec une proposition géométrique à la manière des jardins des années 1920.
 
|Site nom=Parc de la Villette
 
|Site nom=Parc de la Villette
 
|Site details=Dans les années 1970, l'environnement devient progressivement une préoccupation des citoyens et des pouvoirs publics. En 1971, l'extension du Parc de La Courneuve donne lieu au premier concours international de paysagistes, remporté par Gilbert Samel et Allain Provost, futur concepteur du jardin André-Citroën à Paris. En 1976 le projet de réhabilitation du site des anciens abattoirs de La Villette est proposé et en 1982, François Mitterrand lance un concours pour créer un parc entre les futures cités de la Musique et des Sciences.
 
|Site details=Dans les années 1970, l'environnement devient progressivement une préoccupation des citoyens et des pouvoirs publics. En 1971, l'extension du Parc de La Courneuve donne lieu au premier concours international de paysagistes, remporté par Gilbert Samel et Allain Provost, futur concepteur du jardin André-Citroën à Paris. En 1976 le projet de réhabilitation du site des anciens abattoirs de La Villette est proposé et en 1982, François Mitterrand lance un concours pour créer un parc entre les futures cités de la Musique et des Sciences.

Version du 22 janvier 2017 à 17:27

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« cassures, mutilations (vandalisme), salissures » ne fait pas partie des valeurs possibles (éclats, cassures, usure de la surface, empoussièrement, encrassement dû à la pollution, salissures, déjections animales, traces d'oxydation, trous d'insectes (infestation ancienne), trous d'insectes (infestation active), mutilations (vandalisme), tags, parties manquantes, fentes/fissures, humidité, mousses/champignons/dépôts naturels) pour cette propriété.

















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