Jocky 27 (André Nallet) : Différence entre versions

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|notice augmentée=Jocky 27 a été installée lors de la première étape des aménagements artistiques de l’EPFL, en  1979.  Cette  œuvre  provient  du  concours  organisé  par  la  Commission  fédérale  des beaux-arts en 1977. Elle a été plébiscitée dès le début et a reçu un prix. Son installation sur le  terrain  a  nécessité  des  fondations  importantes.  Le  titre  provient  du prénom  du  fils  de  l’artiste associé à la hauteur définitive de la sculpture monumentale.
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|notice_augmentee=Jocky 27 a été installée lors de la première étape des aménagements artistiques de l’EPFL, en  1979.  Cette  œuvre  provient  du  concours  organisé  par  la  Commission  fédérale  des beaux-arts en 1977. Elle a été plébiscitée dès le début et a reçu un prix. Son installation sur le  terrain  a  nécessité  des  fondations  importantes.  Le  titre  provient  du prénom  du  fils  de  l’artiste associé à la hauteur définitive de la sculpture monumentale.\nAndré Nallet décrit la genèse de la sculpture : «C’est le mouvement de la vie et le souvenir de mes visions d’enfance qui m’ont permis de créer le concept de Jocky 27, concept basé sur  l’équilibre  et  le  déséquilibre.  En  effet,  les  deux énormes  panneaux  qui  reposent  sur  une base désaxée, relativement fragile, provoquent sur le spectateur, selon son angle de vision, une insécurité et une crainte quant à la stabilité de l’ensemble». Jocky  27 est  une  sculpture  monumentale  composée  de  deux  parallélépipèdes  en  aluminium  thermo-laqués rouges,  fixés  à  deux  tubes  circulaires  noirs,  encastrés  dans  le  sol.  La  pose  de  l’œuvre  n’a  pas  été  simple  car  il  a  fallu  au  préalable  faire  des  essais  en  soufflerie  pour  connaître  le comportement  de  la  structure  sous  l’effet  du  vent.  De  plus,  les  fondations  ont nécessité  la  construction  souterraine  d’éléments  de  soutien  sous  les  bâtiments déjà érigés.  \nTelle une  tour  monochrome  embrassée  par  un  ruban  noir,  Jocky  27 est,  aujourd’hui  encore,  l’œuvre  la  plus  haute  du  Campus.  Elle  se  voit  loin  à  la  ronde.  Sa  couleur rouge contraste  avec  le  gris  des  façades  des  bâtiments  en  amenant  une  couleur  chaude  sur  un  ensemble  métallique.  Son  langage  plastique  épuré  composé  d’une  réunion  de  formes  angulaires et rondes la situe dans le courant de l’art minimal monumental des années  70  et 80.\nAndré Nallet est  né  en  1950  et  il a  érigé  en  1977,  \nSans titre,  une  sculpture  dans  l'espace  \npublic (stade  des  Libellules  à  Genève).  Cette  sculpture  ressemble, par  l’emploi  d’ un tube de couleur, à Jocky 27\n\nAndré Nallet  n’a  pas  développé  sa\ncarrière artistique.  Il  s’est  consacré  à  une  intense  activité  pédagogique  dans  le  cadre  de  l’école  obligatoire genevoise,  mettant  de  côté  sa  pratique artistique personnelle.
 
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André Nallet décrit la genèse de la sculpture : «C’est le mouvement de la vie et le souvenir de mes visions d’enfance qui m’ont permis de créer le concept de Jocky 27, concept basé sur  l’équilibre  et  le  déséquilibre.  En  effet,  les  deux énormes  panneaux  qui  reposent  sur  une base désaxée, relativement fragile, provoquent sur le spectateur, selon son angle de vision, une insécurité et une crainte quant à la stabilité de l’ensemble». Jocky  27 est  une  sculpture  monumentale  composée  de  deux  parallélépipèdes  en  aluminium  thermo-laqués rouges,  fixés  à  deux  tubes  circulaires  noirs,  encastrés  dans  le  sol.  La  pose  de  l’œuvre  n’a  pas  été  simple  car  il  a  fallu  au  préalable  faire  des  essais  en  soufflerie  pour  connaître  le comportement  de  la  structure  sous  l’effet  du  vent.  De  plus,  les  fondations  ont nécessité  la  construction  souterraine  d’éléments  de  soutien  sous  les  bâtiments déjà érigés.   
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Telle une  tour  monochrome  embrassée  par  un  ruban  noir,  Jocky  27 est,  aujourd’hui  encore,  l’œuvre  la  plus  haute  du  Campus.  Elle  se  voit  loin  à  la  ronde.  Sa  couleur rouge contraste  avec  le  gris  des  façades  des  bâtiments  en  amenant  une  couleur  chaude  sur  un  ensemble  métallique.  Son  langage  plastique  épuré  composé  d’une  réunion  de  formes  angulaires et rondes la situe dans le courant de l’art minimal monumental des années  70  et 80.
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Version actuelle en date du 6 décembre 2019 à 10:21

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Jocky 27 a été installée lors de la première étape des aménagements artistiques de l’EPFL, en 1979. Cette œuvre provient du concours organisé par la Commission fédérale des beaux-arts en 1977. Elle a été plébiscitée dès le début et a reçu un prix. Son installation sur le terrain a nécessité des fondations importantes. Le titre provient du prénom du fils de l’artiste associé à la hauteur définitive de la sculpture monumentale.
André Nallet décrit la genèse de la sculpture : «C’est le mouvement de la vie et le souvenir de mes visions d’enfance qui m’ont permis de créer le concept de Jocky 27, concept basé sur l’équilibre et le déséquilibre. En effet, les deux énormes panneaux qui reposent sur une base désaxée, relativement fragile, provoquent sur le spectateur, selon son angle de vision, une insécurité et une crainte quant à la stabilité de l’ensemble». Jocky 27 est une sculpture monumentale composée de deux parallélépipèdes en aluminium thermo-laqués rouges, fixés à deux tubes circulaires noirs, encastrés dans le sol. La pose de l’œuvre n’a pas été simple car il a fallu au préalable faire des essais en soufflerie pour connaître le comportement de la structure sous l’effet du vent. De plus, les fondations ont nécessité la construction souterraine d’éléments de soutien sous les bâtiments déjà érigés.
Telle une tour monochrome embrassée par un ruban noir, Jocky 27 est, aujourd’hui encore, l’œuvre la plus haute du Campus. Elle se voit loin à la ronde. Sa couleur rouge contraste avec le gris des façades des bâtiments en amenant une couleur chaude sur un ensemble métallique. Son langage plastique épuré composé d’une réunion de formes angulaires et rondes la situe dans le courant de l’art minimal monumental des années 70 et 80.
André Nallet est né en 1950 et il a érigé en 1977,
Sans titre, une sculpture dans l'espace
public (stade des Libellules à Genève). Cette sculpture ressemble, par l’emploi d’ un tube de couleur, à Jocky 27
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André Nallet n’a pas développé sa
carrière artistique. Il s’est consacré à une intense activité pédagogique dans le cadre de l’école obligatoire genevoise, mettant de côté sa pratique artistique personnelle.

Œuvre

TitreJocky 27
Description
Sculpture monumentale installée en 1979 lors de la première étape de construction de l’EPFL sur concours fédéral. Composée de deux parallélépipèdes en aluminium thermo-laqués rouges, fixés à deux tubes circulaires noirs, encastrés dans le sol elle atteint une hauteur totale 27m, et est encore aujourd’hui l’œuvre la plus haute du Campus.
Date1979
Naturepérenne
ProgrammeConcours fédéral
Contexte de production
Construction de la première étape de l'EPFL
État de conservationbon état
Autres précisions sur l'état de conservationLes couleurs du thermo laquage rouge sont déteintes
Périodeart contemporain
Domainesculpture monumentale
Couleurbleu, rouge
Matériaualuminium
Précision sur les matériauxaluminium thermolaqué
Hauteur (m)27
CommanditaireConfédération Suisse
PropriétaireEPFL

Site

LieuEPFL Av Picard
VilleEcublens
DépartementOuest lausannois
RégionVaud
PaysSuisse
Détails sur le site
Av. Piccard, cour A
PMRsite accessible aux personnes à mobilité réduite
Latitude/Longitude46° 31′ 15″ N
6° 34′ 07″ E