Mobilier désurbanisé (Made) : Différence entre versions

Version du 8 mars 2015 à 18:47

Titre	Mobilier désurbanisé
Description Patrick Demazeau (dit Made) crée un dialogue tangible entre un banc public et le hêtre qui traverse son assise. Invité à faire une halte le promeneur se trouve au plus près de ce qu'il vient observer, un arbre avec lequel il peut converser en toute intimité. L'imbrication des deux éléments, à la fois simple et absurde, évoque l'escapade d'un mobilier urbain en quête d’espace sauvage et un arbre en liberté que la ville n'arrête pas.
Date	1997
Précision sur les dates	Résidence du 1er au 14 juillet 1997
Nature	éphémère
Numéro d'inventaire	4
Période	art contemporain
Mouvement	art in situ
Domaine	sculpture
Couleur	jaune
Matériau	acier, bois, peinture
Précision sur les matériaux	Sapin
Hauteur (m)	0,7
Profondeur (m)	2
Largeur (m)	0,4
Commanditaire	Association Vent des Forêts
Commissaire	François Davin
Partenaires publics	Conseil régional de Lorraine, Conseil général de la Meuse
Collaborateurs	Bénévoles du Vent des Forêts
Propriétaire	Vent des Forêts

Lieu	Forêt communale de Pierrefitte-sur-Aire
Lieu-dit	La Hirmont
Code postal	55260
Ville	Pierrefitte-sur-Aire
Département	Meuse
Région	Lorraine
Pays	France
Accès Circuit du Gros Charme
PMR	site accessible aux personnes à mobilité réduite
Latitude/Longitude	48° 55′ 04″ N 5° 21′ 23″ E

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 |artiste=Made
 |image_principale=1997_004bis_MADE_Mobilier d+®surbanis+®.jpg
-|description=Patrick Demazeau - Made - crée un dialogue tangible entre un banc public et le charme qui traverse son assise. Invité à la contemplation du paysage, le promeneur qui fait une halte se trouve au plus près de ce qu'il vient observer, un arbre avec lequel il peut converser en toute intimité. L'intrication des deux éléments, à la fois simple et absurde, évoque l'escapade d'un mobilier urbain, redevenu sauvage ; et un arbre en liberté que la ville n'arrête pas.
+|description=Patrick Demazeau (dit Made) crée un dialogue tangible entre un banc public et le charme qui traverse son assise. Invité à faire une halte le promeneur se trouve au plus près de ce qu'il vient observer, un arbre avec lequel il peut converser en toute intimité. L'imbrication des deux éléments, à la fois simple et absurde, évoque l'escapade d'un mobilier urbain, redevenu sauvage ; et un arbre en liberté que la ville n'arrête pas.
 |inauguration=1997
 |precision_date=Résidence du 1er au 14 juillet 1997