Sans titre (Marc Chagall) : Différence entre versions
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|Site coordonnees=48.871903, 2.3319011 | |Site coordonnees=48.871903, 2.3319011 | ||
|artiste=Marc Chagall | |artiste=Marc Chagall | ||
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|sous_titre=Le plafond | |sous_titre=Le plafond | ||
|description=Le plafond de Chagall est constitué de douze panneaux et un panneau circulaire central de toile montés sur une armature de plastique (deux cent quarante mètres carrés environ), et signé par l’artiste sur le panneau central et sur le panneau principal : « Chagall Marc 1964 ». Chagall est un lyrique, et il y a, dans son plafond, une correspondance, une sympathie plus profonde qu’il n’y paraît avec l’œuvre de Garnier. La peinture de Chagall est, pour reprendre le mot d’Apollinaire visitant son atelier de la Ruche pour la première fois en 1912, « sur-naturelle » (ce terme laissera place plus tard à celui de « surréaliste »), comme le palais enchanté de Garnier. Pour l’esprit religieux voire mystique de Marc Chagall, tout dans l’univers se tient et est mû par l’amour ; êtres et choses sont entraînés dans une circulation totale où il n’y a ni haut ni bas, ni pesanteur ni résistance – l’idéal pour peindre un plafond d’opéra ! | |description=Le plafond de Chagall est constitué de douze panneaux et un panneau circulaire central de toile montés sur une armature de plastique (deux cent quarante mètres carrés environ), et signé par l’artiste sur le panneau central et sur le panneau principal : « Chagall Marc 1964 ». Chagall est un lyrique, et il y a, dans son plafond, une correspondance, une sympathie plus profonde qu’il n’y paraît avec l’œuvre de Garnier. La peinture de Chagall est, pour reprendre le mot d’Apollinaire visitant son atelier de la Ruche pour la première fois en 1912, « sur-naturelle » (ce terme laissera place plus tard à celui de « surréaliste »), comme le palais enchanté de Garnier. Pour l’esprit religieux voire mystique de Marc Chagall, tout dans l’univers se tient et est mû par l’amour ; êtres et choses sont entraînés dans une circulation totale où il n’y a ni haut ni bas, ni pesanteur ni résistance – l’idéal pour peindre un plafond d’opéra ! | ||
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|source=« Le Plafond de Marc Chagall », dans Gérard Fontaine, L’Opéra de Charles Garnier. Architecture et décor intérieur, Éditions du Patrimoine, Paris, 2004, pp.86-88, https://www.google.com/culturalinstitute/asset-viewer/le-plafond-de-marc-chagall-pour-l%E2%80%99op%C3%A9ra-de-paris-1er-ensemble-de-panneaux/RwHNmMsONyvObQ?l.expanded-id=6QG1fXsTNgdbWQ | |source=« Le Plafond de Marc Chagall », dans Gérard Fontaine, L’Opéra de Charles Garnier. Architecture et décor intérieur, Éditions du Patrimoine, Paris, 2004, pp.86-88, https://www.google.com/culturalinstitute/asset-viewer/le-plafond-de-marc-chagall-pour-l%E2%80%99op%C3%A9ra-de-paris-1er-ensemble-de-panneaux/RwHNmMsONyvObQ?l.expanded-id=6QG1fXsTNgdbWQ | ||
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Version du 5 février 2015 à 12:28
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