|description=En juin 1990 à l’invitation du Nouveau Musée/IAC, Lawrence Weiner a conçu une installation permanente de l’énoncé 636 : De grosses pierres déplacées ici et là entre les cieux et la terre. L’artiste a placé la sculpture au point de rencontre des parcours piétonniers de la place. Première sculpture publique de l’artiste en France, elle fait coexister l’énoncé avec sa matérialisation.
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|description=En juin 1990 à l’invitation du Nouveau Musée/IAC, Lawrence Weiner a conçu une installation permanente de l’énoncé 636 : De grosses pierres déplacées ici et là entre les cieux et la terre. L’artiste a placé la sculpture au point de rencontre des parcours piétonniers de la place. Première sculpture publique de l’artiste en France, elle fait coexister l’énoncé avec sa matérialisation.\nLa sculpture est constituée d’acier inoxydable découpé et intégré dans la dalle de béton qui forme le sol de la place. Elle se présente sous la forme de trois jeux de marelle (français, allemand, américain) et de textes en caractère franklin (majuscules et minuscules).\nTout en conservant une dimension universelle renforcée par le caractère immémorial du jeu de la marelle, la sculpture de Lawrence Weiner fait référence aux valeurs fondatrices de la ville dans les années 1930 (son engagement dans le domaine de l’éducatif et du social). Cette réflexion s’affirme dans un livre où l’artiste reprend la question de l’existentialisme : La Marelle ou Pie in the Sky, titre issu d’une chanson populaire socialiste américaine. [notice IAC]
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Version actuelle en date du 6 décembre 2019 à 11:28
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[[Description::En juin 1990 à l’invitation du Nouveau Musée/IAC, Lawrence Weiner a conçu une installation permanente de l’énoncé 636 : De grosses pierres déplacées ici et là entre les cieux et la terre. L’artiste a placé la sculpture au point de rencontre des parcours piétonniers de la place. Première sculpture publique de l’artiste en France, elle fait coexister l’énoncé avec sa matérialisation.\nLa sculpture est constituée d’acier inoxydable découpé et intégré dans la dalle de béton qui forme le sol de la place. Elle se présente sous la forme de trois jeux de marelle (français, allemand, américain) et de textes en caractère franklin (majuscules et minuscules).\nTout en conservant une dimension universelle renforcée par le caractère immémorial du jeu de la marelle, la sculpture de Lawrence Weiner fait référence aux valeurs fondatrices de la ville dans les années 1930 (son engagement dans le domaine de l’éducatif et du social). Cette réflexion s’affirme dans un livre où l’artiste reprend la question de l’existentialisme : La Marelle ou Pie in the Sky, titre issu d’une chanson populaire socialiste américaine. [notice IAC]| ]]
