Femme Bottée (Cyrille André) : Différence entre versions

|artiste=cyrille André

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|nature=pérenne

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|description=Natif de Lyon, Cyrille André se forme à l’Ecole Supérieure d’Art de Grenoble, d’où il sort diplômé en 1997. Dès lors, il se lance dans une recherche formelle tant dans la sculpture, les installations que le dessin et réalise la scénographie de nombreux spectacles. A travers sa démarche artistique, il s’interroge sur l’Humanité, nos origines et le reste de part animale et instinctive qui nous habite, sur notre place dans la société ainsi que la teneur et la qualité des relations humaine. Par ce propos universel, il s’attache à l’essentiel de la forme pour ébaucher une œuvre monumentale.

|description=Natif de Lyon, Cyrille André se forme à l’Ecole Supérieure d’Art de Grenoble, d’où il sort diplômé en 1997. Dès lors, il se lance dans une recherche formelle tant dans la sculpture, les installations que le dessin et réalise la scénographie de nombreux spectacles. A travers sa démarche artistique, il s’interroge sur l’Humanité, nos origines et le reste de part animale et instinctive qui nous habite, sur notre place dans la société ainsi que la teneur et la qualité des relations humaine. Par ce propos universel, il s’attache à l’essentiel de la forme pour ébaucher une œuvre monumentale.

Femme Bottée est une œuvre charnière dans l’évolution des recherches de l’artiste tant par son sujet que par le matériau utilisé, à savoir pour la première fois, la résine et l’apparition de la figure humaine, qui plus est féminine. Après avoir développé tout un bestiaire lui permettant d’évoquer avec une certaine distance, les sentiments qui tissent les relations entre les Hommes (absence, solitude, désir etc.), il représente ici une femme monumentale particulièrement ancrée dans la terre avec de grosses bottes de plomb. Par son imposant ventre de résine, la figure devient une femme-monde, matrice de l’Humanité.

Femme Bottée est une œuvre charnière dans l’évolution des recherches de l’artiste tant par son sujet que par le matériau utilisé, à savoir pour la première fois, la résine et l’apparition de la figure humaine, qui plus est féminine. Après avoir développé tout un bestiaire lui permettant d’évoquer avec une certaine distance, les sentiments qui tissent les relations entre les Hommes (absence, solitude, désir etc.), il représente ici une femme monumentale particulièrement ancrée dans la terre avec de grosses bottes de plomb. Par son imposant ventre de résine, la figure devient une femme-monde, matrice de l’Humanité.