Immigrare I (Sanaz Azari) : Différence entre versions

Version du 8 mars 2015 à 17:41

Titre	Immigrare I
Description Sanaz Azari aligne 150 paires de chaussures prêtes pour une marche aux allures militaires mais figées dans l’attente d'un hypothétique départ, les migrants étant sans cesse partagés entre le mouvement et l’impossibilité de se déplacer. Dégradées par le temps qui passe et les intempéries, elles symbolisent le tragique associé à l’exode et soulignent toutes les pertes engendrées par l’immigration que l’artiste iranienne a connue.
Date	2007
Précision sur les dates	résidence du 1^er au 14 juillet 2007
Nature	éphémère
Numéro d'inventaire	132
Période	art contemporain
Mouvement	art in situ
Domaine	installation
Précision sur les matériaux	chaussures, clous, gravier
Profondeur (m)	7
Largeur (m)	2
Surface (m²)	14
Commanditaire	association Vent des Forêts
Commissaire	Alexandre Bohn
Partenaires publics	Ministère de la Culture et de la Communication – DRAC Lorraine, Conseil régional de Lorraine, Conseil général de la Meuse, Communauté de Communes entre Aire et Meuse.
Collaborateurs	Bénévoles du Vent des Forêts
Propriétaire	Vent des Forêts

Lieu	Forêt domaniale de Marcaulieu
Lieu-dit	Marcaulieu
Code postal	55260
Ville	Lahaymeix
Département	Meuse
Région	Lorraine
Pays	France
Détails sur le site En bordure du chemin empierré
Accès Circuit du Gros Caillou, Circuit de Marcaulieu
PMR	site accessible aux personnes à mobilité réduite
Latitude/Longitude	48° 56′ 16″ N 5° 26′ 19″ E

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 |artiste=Sanaz Azari
 |image_principale=2007_132_Sanaz AZARI_Immigrare I.jpg
-|description=Sanaz Azari aligne 150 paires de chaussures prêtes pour une marche aux allures militaires mais figées dans l’attente avant le départ, symbolisant le peuple des migrants sans cesse partagés entre le mouvement et l’impossibilité de se déplacer. Dégradées par le temps et les intempéries, elles reflètent l’impression tragique associée à l’exode et soulignent toutes les pertes engendrées par l’immigration que l’artiste iranienne a connue.
+|description=Sanaz Azari aligne 150 paires de chaussures prêtes pour une marche aux allures militaires mais figées dans l’attente avant le départ, le peuple des migrants sans cesse partagés entre le mouvement et l’impossibilité de se déplacer. Dégradées par le temps qui passe et les intempéries, elles symbolisent l’impression tragique associée à l’exode et soulignent toutes les pertes engendrées par l’immigration que l’artiste iranienne a connue.
 |inauguration=2007
 |precision_date=Résidence du 1<sup>er</sup> au 14 juillet 2007