Peut-être I (Nicolas Schneider) : Différence entre versions

Version du 8 mars 2015 à 18:51

Titre	Peut-être I
Description Nicolas Schneider sonde la forêt à la recherche de rivières souterraines, avec les compétences d'un sourcier. L'eau, toujours au centre de ses préoccupations artistiques, est ici évoquée par la représentation de sa captation à la source et de sa rétention dans un abreuvoir stylisé. L'oeuvre nous signale ainsi la richesse silencieuse du sol et sa possible exploitation.
Date	2004
Précision sur les dates	Résidence du 28 juin au 14 juillet 2004
Nature	éphémère
Numéro d'inventaire	111
Période	art contemporain
Mouvement	art in situ
Domaine	sculpture
Couleur	blanc
Précision sur les matériaux	acier, béton, bronze, peinture de carrosserie
Hauteur (m)	0,15
Profondeur (m)	3
Largeur (m)	0,4
Précision sur les dimensions	Avec la dalle en béton comprise, l'oeuvre mesure 4,15 m
Commanditaire	Association Vent des Forêts
Commissaire	Alexandre Bohn
Partenaires publics	Ministère de la Culture et de la Communication – DRAC Lorraine, Conseil régional de Lorraine, Conseil général de la Meuse, Communauté de Communes entre Aire et Meuse
Collaborateurs	Bénévoles du Vent des Forêts
Propriétaire	Vent des Forêts

Lieu	Forêt communale de Pierrefitte-sur-Aire
Lieu-dit	La Himont
Code postal	55260
Ville	Pierrefitte-sur-Aire
Département	Meuse
Région	Lorraine
Pays	France
Accès Circuit du Gros Charme
PMR	site non accessible aux personnes à mobilité réduite
Latitude/Longitude	48° 55′ 37″ N 5° 22′ 34″ E

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 |artiste=Nicolas Schneider
 |image_principale=Peut etre I.jpg
-|description=Nicolas Schneider sonde la forêt à la recherche de rivières souterraines, avec les compétences d'un sourcier. L'eau, toujours au centre de ses préoccupations artistiques, est ici évoquée par la représentation de sa captation à la source, de sa rétention dans un abreuvoir stylisé. Une fontaine virtuelle qui nous signale la richesse silencieuse du sol et sa possible exploitation.
+|description=Nicolas Schneider sonde la forêt à la recherche de rivières souterraines, avec les compétences d'un sourcier. L'eau, toujours au centre de ses préoccupations artistiques, est ici évoquée par la représentation de sa captation à la source et de sa rétention dans un abreuvoir stylisé, qui nous signale ainsi la richesse silencieuse du sol et sa possible exploitation.
 |inauguration=2004
 |precision_date=Résidence du 28 juin au 14 juillet 2004