Iron Maiden (Morgane Tschiember) : Différence entre versions

|notice_augmentee=Morgane Tschiember propose avec Iron Maiden une vision presqu'autant sculpturale que picturale des rapports colorés qui l'intéressent depuis les tout débuts de son œuvre.\n\nIron Maiden travaille en ce sens là de la couleur. Par ce titre, point de référence à un air de vieux hard rock, une véritable "dame de fer" littérale et sublime, vient prendre possession de l'espace.\n\nA la manière d'un Richard Serra impénétrable ou d'un Ellsworth Kelly, ces ellipses métalliques jouent de leur apparente légèreté qui vient tout en finesse contredire leur monumentalité.\n\nNée en 1976 à Brest, Morgane Tschiember vit et travaille à Paris. Diplômée de l’École supérieure d'art de Quimper en 1999, puis de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-arts de  Paris en 2002, Morgane Tschiember est lauréate du Prix Ricard pour la Jeune création en 2011, et remporte le prix Sanofi en 2013.\n\nMorgane Tschiember explore la matière avec l'appétit insatiable, la détermination et la petite dose d'inconscience, qui caractérise les aventuriers, les découvreurs, les inventeurs. Elle s'approprie le monde et ses matériaux (acier, mousse expansive, verre, plastique, terre, béton, etc.), pour en tester les spécificités et en éprouver les limites. Des peintures cuites des Pop Up aux travaux récents en céramique en passant par les grandes feuilles en métal peintes façon carrosserie de voiture des Iron Maiden ou des Bubbles, son travail explore une vision totalement étendue de la sculpture, qui lorgne à la fois du côté de la peinture, de l'architecture, de la performance.

|notice_augmentee=Morgane Tschiember propose avec Iron Maiden une vision presqu'autant sculpturale que picturale des rapports colorés qui l'intéressent depuis les tout débuts de son œuvre.\n\nIron Maiden travaille en ce sens là de la couleur. Par ce titre, point de référence à un air de vieux hard rock, une véritable "dame de fer" littérale et sublime, vient prendre possession de l'espace.\n\nA la manière d'un Richard Serra impénétrable ou d'un Ellsworth Kelly, ces ellipses métalliques jouent de leur apparente légèreté qui vient tout en finesse contredire leur monumentalité.\n\nNée en 1976 à Brest, Morgane Tschiember vit et travaille à Paris. Diplômée de l’École supérieure d'art de Quimper en 1999, puis de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-arts de  Paris en 2002, Morgane Tschiember est lauréate du Prix Ricard pour la Jeune création en 2011, et remporte le prix Sanofi en 2013.\n\nMorgane Tschiember explore la matière avec l'appétit insatiable, la détermination et la petite dose d'inconscience, qui caractérise les aventuriers, les découvreurs, les inventeurs. Elle s'approprie le monde et ses matériaux (acier, mousse expansive, verre, plastique, terre, béton, etc.), pour en tester les spécificités et en éprouver les limites. Des peintures cuites des Pop Up aux travaux récents en céramique en passant par les grandes feuilles en métal peintes façon carrosserie de voiture des Iron Maiden ou des Bubbles, son travail explore une vision totalement étendue de la sculpture, qui lorgne à la fois du côté de la peinture, de l'architecture, de la performance.

|inauguration=2019

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|site_ville=Q244725

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|site_departement=Département de Paris

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|architecte=Valero Gadan Architectes

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|source=https://www.culture.gouv.fr/Aides-demarches/Dispositifs-specifiques/1-immeuble-1-aeuvre/AEuvres-realisees/Morgane-Tschiember-pour-Emerige-La-Courneuve

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