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& (Ian Baxter) +parc paysager   +

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(Put) on a fixed point (taken) from a fixed point (Lawrence Weiner) +L'oeuvre a été peinte, à même le mur, dans une typographie - un lettrage bâton en capitales - et des jeux de ponctuation caractéristiques des « Works », série d’installations murales réalisées par cet artiste conceptuel. Pour Lawrence Weiner, le langage est une forme plastique en soi qu’il sculpte. Ainsi, c’est en proposant un énoncé qu’il crée l’œuvre, qui peut être réalisée par lui ou par un autre, refaite ou pas quand elle est effacée par le temps. Ici, il suggère à celui qui lit ces quelques mots l’idée de perspective si chère à André Le Nôtre et qu’il retrouvera dans le tracé du jardin lui-même.  +

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1 immeuble et des Hommes (Alexandra Vaquero) +L'oeuvre est installée sur les palissades de chantier de la résidence. L'artiste a proposé une autre vision du chantier de construction de la résidence Grand bos, celle des hommes et des femmes qui y travaillent et de leurs savoir-faire. Pour la réaliser Alexandra Vaquero a suivi patiemment le travail de ces ouvriers pendant plusieurs mois. Ces clichés révèlent les valeurs qui animent ces compagnons : le professionalisme, l'expérience, la coopération.  +
10 Lignes au hasard (François Morellet) +Dix bandes rouges  +
1020 KM (Olivier Leroi) +Le site du Mont Gerbier-de-Jonc a fait l’objet d’un réaménagement complet engagé ces dernières années par le Département de l’Ardèche. C’est dans ce cadre qu’une commande publique de 1% artistique a été lancée et confiée en 2009 à l’artiste Olivier Leroi. Le Mont Gerbier-de-Jonc étant traversé par la ligne de partage des eaux, c’est tout naturellement que cette œuvre a pris place dans le parcours artistique éponyme.\n\n« 1 020 km » est axé sur la Loire et son parcours. Echo conscient ou non de l’artiste aux trois sources officielles du fleuve, cette œuvre fait appel à trois démarches et trois médiums différents. Elle se découvre ainsi sur plusieurs lieux du site : en extérieur (au pied du Mont Gerbier-de-Jonc) et en intérieur (dans la Maison de site et à la Ferme de Bourlatier, située à quelques kilomètres).\n\nA l’intérieur, un film réalisé par l’artiste Olivier Leroi en collaboration avec le cinéaste Gilles Coudert propose une approche immersive, poétique et sensible du plus long fleuve de France, comme on ne l’a jamais vu : tourné depuis un hélicoptère, il permet de survoler la Loire en temps réel depuis ses sources jusqu’à l’estuaire.\n\nA l’extérieur, trois plaques en acier émaillé sont apposées près des trois sources officielles de la Loire. Elles signalent ainsi leur singularité et leur emplacement géographique. Une quatrième plaque est installée sur la façade de la Maison de site et présente la cartographie du parcours de la Loire. Ces quatre plaques forment un ensemble symbolique et décalé qui instille des indices tout à la fois poétiques et humoristiques sur la géographie et la faune locale.  +
12 millions d’années-lumière d’ici (Bernard Moninot) +Œuvre sonore réalisée dans le cadre de l’émission de France Culture « L’Atelier de création radiophonique »  +
1250.30 (Éric Ferber) +L'artiste fonde sa recherche sur le nombre d'or. Les cubes ont tous les mêmes dimensions mais leur approche formelle faite de vides et de pleins, les distingue les uns des autres.  +
15 heures 46 (Patrick Tosani) +Photographie couleur  +
185.443 ou journal d'une apparition (Aymeric Ebrard) +Oeuvre-en-lien avec l 'architecture y compris son gymnase  +
1989-2015 (Alice Guittard) +Le projet Les Lettres d’Ivry, a été bâti sur les anciennes imprimeries du journal Le Monde dont les arches ont été conservées et totalement intégrées à l’architecture de cet ensemble immobilier. Alice Guittard a voulu rendre hommage aux 27 années durant lesquelles le journal Le Monde aoccupé ce site, en réalisant 27 marqueteries de marbre représentant des mains tenant un journal dont la une est un élément marquant, qu’il soit politique, social, économique ou culturel, par année.  +

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25.11 (François Perrodin) +Cube doré, placé au sommet d'un mât, dont une arête verticale est évidée partiellement et une autre en totalité.  +
28 (Simon Bernheim) +Simon Bernheim grave sur 28 planches de chêne dispersées dans différentes parcelles de la forêt des mots inventés et inconnus des dictionnaires. Ces stèles font écho au Plancher de Jeannot, témoignage d’art brut laissé par un jeune paysan béarnais qui grava en 1971 le parquet de sa chambre d'un long texte sans ponctuation. Simon Bernheim propose ici une œuvre aussi graphique que sonore qu’il nous invite à décoder et à lire à voix haute.  +
2cv (Pappay- Julien Fougeras) +2Cv Mehari légendes éternelles « Le nouveau bâtiment du Mehari Club de Cassis (entreprise labellisée entreprise du patrimoine vivant) abrite des ateliers de fabrication (mécanique & sellerie) et l'entrepôt de stockage des pièces détachées des autos. Le long couloir qui relie l'ensemble des activités du bâtiment était une véritable feuille blanche pour y intervenir et créer quelque chose piquant la curiosité, et incitant le partage et l'échange des différents collaborateurs et des visiteurs. L'univers créé à travers cette fresque, est un témoignage de la vie des hommes et de leur passion : épopée mythique du Tour Auto, vacances à la plage en Mehari ou pause-café au coin d'un vieux food truck avec en fond le mythique col de la Gineste. » (Citation de l'artiste)  +

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3 mots 3 couleurs (Jean-Charles Blais) +L’intervention de Jean-Charles Blais porte sur la pièce dans son ensemble à l’exception du plafond. Sur les murs plats et lisses, de grands champs colorés de peinture sur papier reprennent les couleurs de la République, bleu, blanc et rouge. Les trois portes-fenêtres qui desservent les pièces d’honneur du Palais Préfectoral supportent de grands miroirs sur lesquels sont gravés, à l’envers, les mots : liberté, égalité, fraternité. Les miroirs renvoient ces mots, lisibles à l’endroit dans le reflet de la porte miroir opposée. Chaque porte reflète aussi le mur qui lui fait face et donc la couleur de ce mur. Cette commande dans le lieu prestigieux du Palais Préfectoral révèle le soutien affirmé à la création artistique et à la volonté d’inscrire une démarche contemporaine dans un lieu historique et symbolique.  +
3 × 4 - 12 (Miguel-Angel Molina) +Miguel-Angel Molina peint une plaque d’acier de 4 x 3 m aux couleurs des treillis militaires. Le motif du camouflage, emprunté ici à l'inventeur de la veste &quot  +, léopard&quot  +, , le peintre lorrain membre de l’Ecole de Nancy Louis Guingot, servit dans un premier temps à dissimuler l’artillerie pendant la Première Guerre mondiale. L’artiste choisit pour format de son tableau les dimensions utilisées pour les affiches publicitaires, opposant ainsi deux volontés contradictoires : se cacher et se montrer, un jeu ambivalent qui est celui du guerrier, du chasseur, de l’animal. Le titre de l’œuvre, qui suggère un calcul dont la somme est nulle, illustre tout à fait ce paradoxe.  +
30 secondes (Valérie Mréjen) +Pièces sonores inspirées par de bribes de conversations du quotidien qui peuvent concerner tout un chacun, diffusées de manière aléatoire à différentes stations du tramway, jamais au même endroit ni à heure fixe. Les dialogues sont enregistrés par des comédiens dont Mathieu Amalric.  +

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4 Carrés (1 carré coupé en 4) pivotés de 0°, 30°, 60°, 90° (François Morellet) +Quatre dalles carrées placées aux angles d'un petit bassin, chacune tournée d'un certain angle conformément au titre de l'œuvre.  +
4+1 (Jean-Pierre Bertrand) +Cryptogramme composé de cinq points et d'un tiret se répétant quatre fois sur la largeur et huit fois sur la longeur. Il occupe le mur haut d'une des salles de lecture.  +
42 rectangles mal empilés 2 (Vera Molnar) +42 rectangles mal empilés : tracé. 2 noirs, 1 blan : collage  +

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5 continents : tenir ensemble (Studio Kadra) +En entrant dans la cour de la résidence, les habitants plongent dans un imaginaire onirique qui ouvre leur regard et positionne la résidence dans son contexte local. La fresque artistique s’inspire du nom de la résidence « 5 continents » en représentant 5 interprétations de Couëron, commune rurale de la métropole Nantaise. Le continent qui signifie « tenir ensemble » (continere en latin) est une grande étendue de terre entourée d’eau, principe similaire aux marais qui environnent cette ville nature. Chaque tableau représente une association entre deux composantes du territoire englobées par l’eau, dénominateur commun et liant naturelle de sa topographie. Des îlots graphiques qui tiennent ensemble dans un jeu d’équilibre entre minimalisme et mise en récit. Une fleur d’Arum enveloppe la tour à plomb, un violon vogue comme un bois flotté sur la Loire, un kiosque sablier défie le temps, un rêveur au visage de grès illumine le jardin, un nuage échassier se joue de surréalisme. Dans cette œuvre murale, le street art et la culture nantaise des arts graphiques s'immiscent au cœur de la résidence offrant un fond de scène colorée à l’aménagement paysager. Un décor de théâtre qui révèle la palette végétale, ouvre l’horizon et propose un halo de lumière visible de l’intérieur des appartements.  +

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7 comètes à venir (David Boeno) +David Boeno convie à une déambulation dans le parc, ponctuée par 7 troncs d’arbre sectionnés selon des angles de coupe obtenus d’après le calcul de la trajectoire elliptique de 7 comètes. Un miroir biseauté, comme un objet précieux et étincelant, est enchâssé au cœur de chacune des sections. Sur chaque miroir est gravé le nom de la comète et la date de son futur passage au périhélie, le point de l’orbite le plus proche du Soleil qui provoque la nébulosité de la comète et rend sa chevelure fortement incandescente. Cette confrontation de l’instant présent et de l’écho d’un avenir venu d’un éloignement sidéral, de la contrainte d’une vie terrestre et des profondeurs inaccessibles du temps et de l’espace, compose une conscience du monde où s’entrecroisent les fils infinis des géométries prospectives, rêveuses, et des choses en mouvement pour former une seule trame continue.  +
7,5 m² de frontière (Ai Kitahara) +Aï Kitahara modélise en trois dimensions la carte de France et nous invite à toucher son contour. Interrogeant la notion de territoire, 7,5m² de frontière est une sculpture qui délimite matériellement et symboliquement un espace qui devient frontière. Un questionnement topologique qui repense et bouscule l'échelle de nos représentations.  +
7000 chênes (Joseph Beuys) +Dans 7000 chênes, pour la Documenta 7, à Kassel en 1982, Beuys commence la plantation de 7000 chênes, action qui se poursuit sur plusieurs années, sur toute la planète, même après la mort de l'artiste en 1986.\nChaque chêne est associé à une colonne de basalte. Les 7000 colonnes de basalte sont disposées en tas au début de l'action dans un parc de Kassel. Les acheteurs paient cinq cents Deutsch Mark pour planter un arbre au pied duquel est disposée la colonne de basalte, et reçoivent un reçu.\nAinsi les gens peuvent suivre le déroulement de l'action, en fonction du tas de colonnes de basalte.\nIl y a aussi une interaction entre le minéral à dimension fixe du basalte, et l'arbre qui se développe : au début l'arbre est plus petit, ensuite celui-ci devient plus grand que la pierre.\nL'intention de Beuys dans cette action est « donner l'alarme contre toutes les forces qui détruisent la nature et la vie » .  +

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9 mai 2016 – Des jeunes Soudanais jouent au jeu du dalla, zone nord. (Gilles Raynaldy) +Photographie, Dans la série « Welcome my friend ». La jungle de Calais, décembre 2015 – octobre 2016  +

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A Paul Cézanne (Olivier Mosset) +La célèbre sculpture de Maillol, Hommage à Cézanne fut commandée en 1912 par un comité d’artistes d’Aix-en-Provence. Pour Maillol, cette composition classique qui représentait une statue de femme vêtue, portant une branche d’olivier, était la meilleure manière d’évoquer la peinture. L’œuvre fut installée au Jardin des Tuileries puis déplacée près du Louvre sans son socle d’origine et attribuée au Musée d’art moderne de la ville de Paris. En se promenant dans le Jardin des Tuileries, Olivier Mosset découvre le socle abandonné avec l'inscription &quot  +, A Paul Cézanne&quot  +, . Il fit répliquer cette pierre à Bienne. Dans le cadre d'une exposition au Centre international d’art et du paysage de l’île de Vassivière en 2004, il a souhaité présenter cette œuvre qui signe de façon commune le paysage à la fois par Paul Cézanne et par Olivier Mosset.  +
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