En vol (Emilie Lemardeley)

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Œuvre

TitreEn vol
Description
« Cette œuvre est construite sur une opposition entre le terrestre, - présenté par le bloc de béton brut, non travaillé, mais qui sert de socle et de fondement à l’étage supérieur- celui de l’envol et de la spiritualité. Cet étage, beaucoup plus aéré et aérien, admet le vide de matière comme structure. Le vide modèle l’espace. Au sein de ce vide, il y a des ailes qui s’ouvrent vers le haut, vers l’infini et l’invisible. Puis il y a cette perle de verre, maintenu entre les deux ailes, qui flotte dans l’invisible et entreprend un voyage. Un voyage immobile bien sûr mais qui pourtant change à chaque minute et dialogue avec le lieu d’une manière ininterrompu. Le dialogue entre le jardin et l’œuvre va être fertile, vibrant et changeant.
Date2021
Naturepérenne
Programme1 immeuble, 1 œuvre
Précision sur le domaineSculpture en aluminium peint, verre et résine
Précision sur les dimensions230 X 70 X 86 cm
Maîtrise d'ouvrageEiffage Immobilier

Site

Adresse17, avenue du Général de Gaulle - 92140
VilleClamart
RégionÎle-de-France
PaysFrance
Latitude/Longitude48° 47′ 36″ N
2° 16′ 15″ E







[[Description::« Cette œuvre est construite sur une opposition entre le terrestre, - présenté par le bloc de béton brut, non travaillé, mais qui sert de socle et de fondement à l’étage supérieur- celui de l’envol et de la spiritualité. Cet étage, beaucoup plus aéré et aérien, admet le vide de matière comme structure. Le vide modèle l’espace. Au sein de ce vide, il y a des ailes qui s’ouvrent vers le haut, vers l’infini et l’invisible. Puis il y a cette perle de verre, maintenu entre les deux ailes, qui flotte dans l’invisible et entreprend un voyage. Un voyage immobile bien sûr mais qui pourtant change à chaque minute et dialogue avec le lieu d’une manière ininterrompu. Le dialogue entre le jardin et l’œuvre va être fertile, vibrant et changeant. Pour cette œuvre, j’ai travaillé? sur les matériaux et sur leur capacité à renvoyer la lumière, à jouer avec elle.[...] A travers cette œuvre, on ouvre la porte de l’énergie, de l’élan intérieur, et de la transcendance. Il s’agit de représenter la force vitale. L’homme débarrassé de tout ce qui est matériel et qui rejoint le monde. Il y a donc une part de sacralité? dans cette sculpture. Mais c’est une sacralité? contemporaine, qui n’est pas religieuse. C’est un renoncement au corps, à la figure, au fini, à la personne. C’est un hymne à l’élan qui est en chacun d’entre nous, à cette force vitale qui nous transcende. » (Citation de l'artiste)| ]]