Description
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, L’œuvre que j’imagine est composée d’une g … L’œuvre que j’imagine est composée d’une grande surface monochromatique, à l’échelle de l’architecture, située à l’entrée du bâtiment. Cette surface est vibrante, elle s’active et révèle des interférences avec l’environnement, en fonction du déplacement et du point de vue de l’observateur. Elle s’aborde comme un sas qui dévoile des porosités avec l’architecture, le paysage urbain et ses usagers.\nDe l’extérieur, cette surface de couleur, apparaît comme un monochrome et se métamorphose ensuite lorsqu’on se situe au sein du bâtiment. À proximité, celle-ci révèle une harmonique chromatique, une onde visuelle, qui fluctue en fonction du mouvement. Les zones de réflexion ajoutent à l’image restituée les silhouettes de l’architecture et des passants.\nLes multiples dimensions se révèlent dans l’espace et dans le temps par la transformation même de l’œuvre qui s’appréhende différemment à chaque heure de la journée, à chaque saison, selon la position de l’observateur, de ses déplacements, et dessine ainsi l’évolution de l’harmonique visuelle."olution de l’harmonique visuelle." +
, Etienne Rey\n\nArchitecte du collège Chris … Etienne Rey\n\nArchitecte du collège Christine de Pisan : Roland Carta. Maîtrise d’ouvrage : FAYAT\n\nProgramme de la commande: Oeuvre invitant à la déambulation du parvis jusqu'à la rue intérieure. Oeuvre tenant compte des transparences des points de vue entre l'intérieur et l'extérieurts de vue entre l'intérieur et l'extérieur +
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