Sans titre (Le Jardin aux sentiers qui bifurquent) (Bruno Peinado) : Différence entre versions

De atlasmuseum
Aller à : navigation, rechercher
m (2 révisions importées)
 
(3 révisions intermédiaires par 2 utilisateurs non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
 
{{Notice d'œuvre
 
{{Notice d'œuvre
 
|titre=Sans titre (Le Jardin aux sentiers qui bifurquent)
 
|titre=Sans titre (Le Jardin aux sentiers qui bifurquent)
|Site coordonnees=47.237671, -1.637231
+
|site_coordonnees=47.237671, -1.637231
 
|artiste=Bruno Peinado
 
|artiste=Bruno Peinado
 
|nature=pérenne
 
|nature=pérenne
|image_principale=image-manquante.jpg
+
|image_principale=Capture d’écran 2021-07-05 à 13.54.13.png
|Site ville=Saint-Herblain
+
|description=Marqueterie en pvc, peinture, caissons lumineux et programmation numérique
|Site departement=Loire-Atlantique
+
|notice_augmentee=Reine Levy, commanditaire de l’oeuvre\nau sein du comité des patients\nDans cet environnement si spécial, si technique, le malade\nest agressé, déstabilisé. L’idée de cette oeuvre est de retrouver\nla place de son corps dans l’espace.\nSouvent les espaces sont créés et le corps s’y adapte de\ngré ou de force, l’oeuvre de M. Peinado suggère « l’accompagnement\n». Elle nous oblige à nous recentrer et il n’est pas\nbesoin d’être malade pour le ressentir. Elle nous incite à\nprendre un chemin qui semble linéaire et finit en arborescence\nsur les murs, c’est un message d’espoir et d’ouverture.\nCe message est positif, il nous pousse vers l’avant, nous\ndevenons acteur de nos actes.\nIl n’y a pas le corps d’un côté et l’esprit de l’autre, les deux\nsont dépendants l’un de l’autre d’où l’importance d’un\nenvironnement qui les concilie.\nPar son emplacement, cette oeuvre prendra en compte aussi\nles malades couchés, ils seront sensibles à la variabilité de la\nlumière qui les accompagnera telles des pulsations du coeur\net de la respiration, source de vie.\nSon oeuvre est ludique, joyeuse et colorée, elle amène un\npeu d’humanité. Elle laisse à chacun un espace libre de\nréflexion et d’interprétation. Elle aide notre cerveau parfois\nvide (pour les malades), parfois trop encombré (pour les\nautres) à recréer un univers propre à ses aspirations.\nC’est une oeuvre universelle, tout le monde y a accès,\nsans distinction de culture, de culte ou de race. Elle nous\ntransporte au delà de l’espace et du temps.\nIl n’était pas question de descendre l’oeuvre à un niveau bas,\nde faire du « pathos » mais au contraire d’amener la réflexion\ngraduellement vers le haut.
|Site region=Pays de la Loire
+
|programme=
|Site pays=France
+
|contexte_production=Commande pour l’institut de Cancérologie de l’Ouest, avec le soutien du ministère de la Culture et de la Fondation de France, action Nouveaux Commanditaires
|Site pmr=je ne sais pas
+
|site_nom=institut de Cancérologie de l’Ouest
|source=[http://www.nouveauxcommanditaires.eu/fr/25/219/ Nouveaux Commanditaires]
+
|site_ville=Saint-Herblain
 +
|site_departement=Loire-Atlantique
 +
|site_region=Pays de la Loire
 +
|site_pays=France
 +
|site_pmr=je ne sais pas
 +
|source=[http://www.nouveauxcommanditaires.eu/fr/25/219/ Nouveaux Commanditaires] \n[https://www.wikidata.org/wiki/Q107137226 L'art à ciel ouvert : la commande publique au pluriel 2007-2019]\n https://reseau-dda.org/fr/artworks/sans-titre-le-jardin-aux-sentiers-qui-bifurquent
 
}}
 
}}

Version actuelle en date du 5 juillet 2021 à 13:55

Notice+

Reine Levy, commanditaire de l’oeuvre
au sein du comité des patients
Dans cet environnement si spécial, si technique, le malade
est agressé, déstabilisé. L’idée de cette oeuvre est de retrouver
la place de son corps dans l’espace.
Souvent les espaces sont créés et le corps s’y adapte de
gré ou de force, l’oeuvre de M. Peinado suggère « l’accompagnement
». Elle nous oblige à nous recentrer et il n’est pas
besoin d’être malade pour le ressentir. Elle nous incite à
prendre un chemin qui semble linéaire et finit en arborescence
sur les murs, c’est un message d’espoir et d’ouverture.
Ce message est positif, il nous pousse vers l’avant, nous
devenons acteur de nos actes.
Il n’y a pas le corps d’un côté et l’esprit de l’autre, les deux
sont dépendants l’un de l’autre d’où l’importance d’un
environnement qui les concilie.
Par son emplacement, cette oeuvre prendra en compte aussi
les malades couchés, ils seront sensibles à la variabilité de la
lumière qui les accompagnera telles des pulsations du coeur
et de la respiration, source de vie.
Son oeuvre est ludique, joyeuse et colorée, elle amène un
peu d’humanité. Elle laisse à chacun un espace libre de
réflexion et d’interprétation. Elle aide notre cerveau parfois
vide (pour les malades), parfois trop encombré (pour les
autres) à recréer un univers propre à ses aspirations.
C’est une oeuvre universelle, tout le monde y a accès,
sans distinction de culture, de culte ou de race. Elle nous
transporte au delà de l’espace et du temps.
Il n’était pas question de descendre l’oeuvre à un niveau bas,
de faire du « pathos » mais au contraire d’amener la réflexion
graduellement vers le haut.

Œuvre

TitreSans titre (Le Jardin aux sentiers qui bifurquent)
Description
Marqueterie en pvc, peinture, caissons lumineux et programmation numérique
Naturepérenne
Programme
Contexte de production
Commande pour l’institut de Cancérologie de l’Ouest, avec le soutien du ministère de la Culture et de la Fondation de France, action Nouveaux Commanditaires

Site

Lieuinstitut de Cancérologie de l’Ouest
VilleSaint-Herblain
DépartementLoire-Atlantique
RégionPays de la Loire
PaysFrance
PMRje ne sais pas
Latitude/Longitude47° 14′ 16″ N
1° 38′ 14″ O